jeudi 28 mars 2013

Café racer


Vue de dessus


vendredi 22 mars 2013

Univers perso


mercredi 20 mars 2013

mardi 19 mars 2013

Ya quekchose


Lumière


lundi 18 mars 2013

jeudi 14 mars 2013

mercredi 13 mars 2013

lundi 11 mars 2013

NOTHING COMPARES 2 U


It's been seven hours and fifteen days
Since you took your love away
I go out every night, and sleep all day
Since you took your love away
Since you've been gone, I can do whatever I want
I can do forever I choose
I can eat my dinner in a fancy restaurant
But nothing
Can take away these blues
Nothing compares
Nothing compares 2 U

It's been so lonely without you here
Like a bird without a song
Nothing can stop these lonely tears
Tell me, Baby, where did I go wrong
I could put my arms around every girl I see
But they'd only remind me of you
I went to the doctor, guess what he told me
Guess what he told me
He said man u better try to have fun no matter what you do
Nothing compares
Nothing compares 2 U

All the flowers that you've planted
In the back yard
All died when you went away
I know that living with you was sometimes hard
But I'm willing to give it another try
Nothing compares
Nothing compares 2 U

dimanche 10 mars 2013

Heroine de BD aussi


Hochet


Instant du matin.


Land art ?


mardi 5 mars 2013

Scott POMMIER, photographe


Nouveau pope


Portrait


Japanese tatoo


Matière chinée


Pionnière




Ourlet


lundi 4 mars 2013

Absolument


2 gouttes d'huile


L'infirmière est un ange et ses yeux sont verts


Sirène

Si les sirènes existent, il faut s'habiller pour les rencontrer. Apprendre les gestes qui sauvent, comme la panne d'air, enfiler une combinaison, se plomber la ceinture, parce que de toutes façons, les sirènes, elles vont pas quitter le bleu qui va si bien au lustre de leurs écailles, pas quitter le monde du silence qui élimine les mots pour laisser la place au cillement des yeux qui sont les voyelles des mots d'amour.




dimanche 3 mars 2013

Epicétou


Détail


Homme brouillé


Polynesian period


A l'ombre


Les filles avaient gardé le casque. Le chaland décontenancé n'osait plus fouiner dans la mécanique des machines et on avait la paix le temps d'un thé vert, affalés sur le sofa sous la guitoune. 
J'ai pris la photo au moment où Sandrine réclamait un autre sucre, et l'espace d'un moment je n'ai plus vu que ces deux filles à moitié nues au milieu des pièces de moto éparpillées à l'ombre du stand, la synthèse réussie de deux univers à friction.

Embarquement