Pour caresser la route, on peut s'y prendre de plusieurs façons : acheter la dernière édition de SUR LA ROUTE de Monsieur KEROUAC et frotter son nez dessus, ou enfourcher un spet-de-la-mort-qui-tue et chausser un parcours de virolos accueillants en faisant crisser ses gommes.
J'ai un faible pour les deux, avec une préférence pour la deuxième solution, qui associe la musique du moteur, les odeurs des mécaniques coulissantes et l'espace autour d'une combinaison d'émotions visuelles et olfactives.
J'aime cette image d'équilibre précaire, et l'appui fragile d'une main juste posée comme ça, sur la crête d'une vague bitumée encore chaude.
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